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Joe Biden a assuré que les États-Unis étaient de nouveau "prêts à guider le monde"

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  L'Amérique est de retour". C'est, en substance, le message qu'a voulu faire passer mardi soir Joe Biden. Ou plus exactement Joe Biden et les premières personnalités qui vont l'accompagner : ils étaient sept à ses côtés sur la scène de Wilmington d'où le démocrate a vanté le retour du multilatéralisme. C'est une équipe qui reflète le fait que l'Amérique est de retour, prête à guider le monde", a déclaré Joe Biden, accompagné de sa future vice-présidente Kamala Harris. Cette première salve de nominations comprend plusieurs personnalités chevronnées ayant servi sous Barack Obama, comme Antony Blinken, futur chef de la diplomatie.  "Nous ne pouvons pas résoudre seuls les problèmes du monde", a affirmé cet ex-numéro deux du département d'État. "Le multilatéralisme est de retour, la diplomatie est de retour", a renchéri la future ambassadrice américaine à l'ONU, Linda Thomas-Greenfield. 

Emmanuel Macron s'élève contre la "stratégie" de la Turquie et de la Russie en Afrique

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  Le président de la République a dénoncé la "stratégie" menée par la Russie et la Turquie pour alimenter un sentiment anti-français en Afrique en jouant "sur le ressentiment post-colonial".  "Il y a une stratégie à l'œuvre, menée parfois par des dirigeants africains, mais surtout par des puissances étrangères, comme la Russie ou la Turquie, qui jouent sur le ressentiment post-colonial", a-t-il déclaré.  "Il ne faut pas être naïf : beaucoup de ceux qui donnent de la voix, qui font des vidéos, qui sont présents dans les médias francophones sont stipendiés par la Russie ou la Turquie." "Nous ne devons pas être prisonnier de notre passé" Dans ce long entretien, accordé à Jeune Afrique ce vendredi 20 novembre, le chef de l'État français insiste sur la "relation équitable" et le "véritable partenariat", que la France cherche à mettre en œuvre avec le continent, depuis son arrivée au pouvoir en 2017, avec la levée

Mike Pompeo reçu par le président Macron, et son homologue Jean-Yves Le Drian

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  Mike Pompeo sera reçu ce lundi par le président Macron, après un entretien avec son homologue Jean-Yves Le Drian. Il poursuivra son voyage en Turquie, Géorgie, Israël, aux Emirats arabes unis, au Qatar et enfin en Arabie saoudite. Une tournée d’adieu en quelque sorte. Alliés, partenaires et amis :  le département d’Etat insiste sur les liens historiques qui unissent la France et les Etats-Unis à la veille de la visite de Mike Pompeo. Une visite qui restera discrète; elle a lieu à la demande des Américains, précise-t-on à Paris, et « en toute transparence avec l’équipe de Joe Biden ». La période de transition complique les relations diplomatiques mais les sujets de discussion ne manqueront pas. Côté américain on évoque l’importance de la coopération transatlantique en matière économique, une alliance clé au sein de l’Otan, une convergence de vues sur la Russie et un partenariat indéfectible dans la lutte contre le terrorisme.

Covid-19 : un premier vaccin distribué dès janvier 2021 selon l'agence européenne des médicaments

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  L'agence européenne des médicaments a annoncé qu'elle pourrait donner son avis favorable à un premier vaccin contre le nouveau coronavirus "d'ici la fin de l'année". Le traitement pourrait ainsi être distribué dès le mois de janvier. Les annonces se multiplient. L'agence européenne des médicaments (EMA) a annoncé qu'elle prévoyait de donner son avis favorable à un premier vaccin contre le nouveau coronavirus "d'ici la fin de l'année" en vue d'une distribution "à partir de janvier". "Si les données sont solides, nous pourrons donner le feu vert au premier vaccin d'ici la fin de l'année et commencer la distribution à partir de janvier", a déclaré Guido Rasi, le directeur de l'EMA, dans un entretien publié samedi 14 novembre dans le journal italien Il Sole 24 Ore. Cet organisme a pour mission d'autoriser et contrôler les médicaments dans l'UE. Le feu vert final, donné par la Commission europé

Mike Pompeo le chef de la diplomatie américaine en visite en France

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  Mike Pompeo, chef de la diplomatie américaine, est arrivé samedi 14 novembre à Paris. Il doit y rencontrer lundi le président Emmanuel Macron, qui a déjà, contrairement à Donald Trump, reconnu la victoire de Joe Biden dans la course à la Maison Blanche. "Heureux d'être en France, le plus vieil ami et allié des États-Unis", a tweeté à sa descente d'avion le secrétaire d'État, dont c'est la première visite bilatérale dans la capitale française, hormis un déplacement pour accompagner le président américain. "Notre partenariat est bâti sur des valeurs partagées : la démocratie, la liberté et l'État de droit", a-t-il ajouté. Mike Pompeo refuse de reconnaître la victoire de Joe Biden Le ministre, accompagné de son épouse Susan Pompeo, n'avait pas grand-chose à son agenda durant le week-end, hormis un hommage aux victimes des récents attentats perpétrés en France, à Conflans-Sainte-Honorine et à Nice.  Lundi matin, Mike Pompeo doit rencontrer Emma

Un adolescent a été poignardé à plusieurs reprises à proximité "d'un lycée près d'Angers

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  Un élève de seconde du lycée professionnel Paul-Emile-Victor à Avrillé (Maine-et-Loire) a reçu plusieurs coups de couteau ce vendredi matin 13 novembre.  Les faits ont eu lieu à 11h30, non loin de l'établissement scolaire. Après s'être effondré, le jeune garçon de 16 ans, inconnu des services, a été pris en charge par les pompiers puis été transporté en urgence absolue au CHU d'Angers. Les trois ou quatre auteurs des coups, «venus en voiture» selon plusieurs sources, sont en fuite et activement recherchés. L'enquête a été confiée à la police judiciaire d'Angers. Il n'y a pas de «pas de notion terroriste à ce stade», confient ces mêmes sources, qui évoquent une victime issue d'un quartier sensible d'Angers.

Accord post-Brexit: "des divergences persistent"

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  Les négociations entre le Royaume-Uni et l'UE sur la relation commerciale post-Brexit, actuellement dans une phase intensive à Londres, se poursuivront la semaine prochaine à Bruxelles, a annoncé jeudi la Commission européenne. Nous travaillons dur pour parvenir à un accord. Les pourparlers se poursuivront à Londres pendant le week-end et auront lieu à Bruxelles la semaine prochaine", a déclaré Daniel Ferrie, porte-parole de l'exécutif européen, sans préciser le jour exact de reprise des discussions. La mi-novembre apparaissait jusqu'alors comme la date limite afin de pouvoir ratifier à temps un accord qui entrerait en vigueur le 1er janvier 2021, à la fin de la période de transition mise en place pour laisser du temps à la négociation. Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE doivent se retrouver le 19 novembre pour une visioconférence consacrée au Covid-19, mais le Brexit n'est pas inscrit à l'ordre du jour pour l'instant. Les pourparlers pos