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Affichage des articles associés au libellé Cédéao

Côte d'Ivoire : l'opposition ne veut pas négocier avec le pouvoir

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  L'opposition a rejeté les concessions proposées par le pouvoir sur une réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) pour mettre fin à son boycott de l'élection présidentielle du 31 octobre en Côte d'Ivoire.  Elle considère que les propositions du pouvoir ne correspondent pas à ses demandes, a déclaré Maurice Kakou Guikahué, numéro deux du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI, principal mouvement d'opposition), lors d'une conférence de presse. Il s'exprimait au nom de Henri Konan Bédié, ancien président et chef du PDCI, et de Pascal Affi N'Guessan, qui dirige une partie du Front Populaire Ivoirien (FPI).  La Cédéao invitée à "continuer" sa médiation "Les candidats de l'opposition maintiennent leur mot d'ordre de désobéissance civile" et "réitèrent leur demande de médiation internationale dans le conflit ivoirien", a indiqué Maurice Kakou Guikahué. Le numéro deux du PDCI a de nouveau rappelé les princi

Mali: le nouveau Premier ministre malien investi, la Cédéao encore réticente à lever les sanctions

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  L'ancien ministre des Affaires étrangères Moctar Ouane, 64 ans, désigné dimanche pour diriger le gouvernement de transition au Mali, a été investi ce lundi. C'est un diplomate chevronné, jouissant d'une solide réputation internationale mais peu connu dans son pays.  C'est aussi un civil, l'une des conditions pour une levée des sanctions de la CEDEAO. Pourtant l’organisation est encore réticente. Il existe selon elle des "zones grises" à éclaircir, notamment concernant le vice-président.

L'ancien président du Nigeria Goodluck Jonathan, au Mali

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  Goodluck Jonathan est arrivé mercredi 23 septembre à Bamako pour une visite de 48 heures. Une semaine après le sommet d'Accra avec la junte malienne, le médiateur de la Cédéao vient voir si les conditions sont réunies pour lever les sanctions imposées par la communauté ouest-africaine au lendemain du coup d’État du 18 août. La visite de Goodluck Jonathan était très attendue au Mali. L'ex-président nigérian est finalement arrivé à Bamako ce mercredi 23 septembre dans l'après-midi. Son séjour ici représente un enjeu de taille pour le pays : les sanctions imposées par la Cédéao après le coup d'État du 18 août commencent à peser sur les populations et les finances publiques. La Cédéao veut en Premier ministre au profil strictement civil cette fois Une rencontre sans doute décisive aura lieu jeudi 24 septembre : Goodluck Jonathan doit s'entretenir avec le colonel Assimi Goïta, le chef de la junte, puis le nouveau président Bah N'Daw. Le nouveau Premier ministre ne

Bamako: À deux jours de l'ultimatum de la Cédéao, la junte et le M5-RFP renouent le dialogue

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  Des négociations, des tractations, des discussions mais toujours pas de décision au Mali. La junte au pouvoir continue de consulter avant de publier la charte pour la transition politique dans le pays. Samedi, les militaires ont de nouveau rencontré les représentants du mouvement de contestation M5-RFP. Deux jours, c'est le temps qu'il reste à la junte au pouvoir au Mali pour désigner un président et un Premier ministre civils et revoir la charte de transition. C'est en effet ce mardi qu'expire l'ultimatum fixé par la Cédéao (Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest). Les militaires ont donc intensifié leurs consultations ces derniers jours, notamment avec le mouvement M5-RFP. Le week-end dernier, la coalition qui a mené la contestation contre l'ex-président IBK avait rejeté les propositions de la junte mais après une nouvelle rencontre samedi soir, la tonalité était plutôt positive. Du côté du M5, on assure que les discussions évoluent dans le bon

Bamako: L'embargo commence à peser sur les populations

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  Depuis le coup d’État du 18 août, la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest a décidé de suspendre ses échanges financiers et commerciaux avec le Mali, à l'exception des produits de première nécessité.  Cet embargo partiel n’est pas complètement appliqué, mais la Cédéao menace d’un embargo « total » cette fois si la junte qui a pris le pouvoir ne nomme pas d’ici mardi prochain un président et un Premier ministre civils. Une perspective redoutée notamment par les commerçants qui importent des produits de la Côte d’Ivoire. Pour eux, les conséquences se font déjà sentir.  Chacun appelle donc la Communauté économiques des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) à lever l’embargo, dont les premières victimes disent-ils, ne seront ni les hommes politiques ni les militaires, mais la population malienne.

Bamako : la junte affirme que le pays est sous la menace "total" de la Cédéao

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  Le Mali s'expose à un "embargo total" de la Cédéao si les militaires au pouvoir ne nomment pas rapidement un président et un Premier ministre de transition civils, affirme un porte-parole de la junte.  "Nous sommes transparent dans ce que nous faisons. L'aspect de l'embargo va être intégré dans la prise de décision finale pour la décision de la transition. Si nous mettons en place une transition militaire et qu'après analyse nous nous rendons compte que nous ne pouvons pas prendre en compte les effets secondaires de l'embargo, nous allons créer des problèmes au Mali", indique le colonel. L'Organisation sous régionale exige une présidence et un Premier ministre civil et une transition de 18 mois. Elle rejette la proposition de transition militaire. "Nous avons dit clairement à la Cédéao que nous sommes au service du peuple. Dans la carte de la transition on parle de 18 mois. La majorité a parlé d'une transition militaire même si dan

Ghana: Nana Akufo-Addo espère un président de transition civil au "Mali"

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  Le président du Ghana, Nana Akufo-Addo, déclare que les dirigeants d'Afrique de l'Ouest espèrent voir un gouvernement civil s'installer au Mali d'ici quelques jours. Il s'est exprimé à l'issue de discussions entre les président de la CEDEAO et la junte militaire qui a pris le pouvoir au Mali, le mois dernier.M. Akufo-Addo estime que le bloc régional, la Cedeao, lèverait les sanctions "à la minute" où des civils seraient en place pour conduire la transition au Mali. Les dirigeants de la Cedeao se sont réunis dans la capitale ghanéenne, Accra, pour des discussions sur la crise politique du Mali. Le chef de la junte malienne, le Col Assimi Goita, ainsi que des représentants des Nations unies et de l'Union africaine étaient également présents. Les dirigeants ouest-africains craignent que la situation sécuritaire au Mali ne se détériore et ne compromette les efforts déployés pour vaincre les insurgés islamistes dans le nord.Samedi, le mouvement M5-RFP

Alerte Info: la "Cédéao" exhorte la junte à mettre en place sans délai un gouvernement de transition au Mali

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  La junte militaire au Mali doit remettre immédiatement le pouvoir à un gouvernement de transition dirigé par un civil, a exigé mardi le président de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao). La Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) exige immédiatement un gouvernement de transition au Mali. "Aujourd'hui est censé être le jour où la junte doit mettre en place un gouvernement, qui devra répondre aux critères que nous avons définis en août. Ce n'est pas encore fait", a déclaré mardi 15 septembre le président du Ghana, Nana Akufo-Addo, qui assure la présidence par intérim de la Cédéao. L'organisation, qui a pris rapidement des sanctions contre les militaires ayant renversé le président Ibrahim Boubacar Keïta le 18 août, avait fixé à ce mardi la date butoir pour que la junte désigne un président et un Premier ministre de transition en vue d'élections dans un délai de 12 mois. La junte a cependant fait

Mali : la Cédéao exige la désignation d'un président civil d'ici le 15 septembre

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 Mali : la Cédéao exige la désignation d'un président civil d'ici le 15 septembre La Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a demandé à la junte, qui a pris le pouvoir au Mali, de désigner un président civil de transition d'ici le 15 septembre, selon le communiqué final du sommet à Niamey. Réunis à Niamey, au Niger, les dirigeants d'Afrique de l'Ouest ont décidé, lundi 7 septembre, de donner jusqu'au 15 septembre à la junte militaire au pouvoir au Mali pour désigner un président et un Premier ministre de transition. Dans un communiqué lu à l'issue de leur sommet, les chefs d'État de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) ont précisé que ce président et ce  Premier ministre devaient être des civils. Soucieuse de maintenir la pression sur les militaires ayant renversé le 18 août le président Ibrahim Boubacar Keïta, la Cédéao n'a pas levé les sanctions prises contre le Mali après le coup d