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Djibouti : Cinquième mandat du président Guelleh le parti au pouvoir

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Sept mois de la présidentielle, la coalition l'Union pour le salut national (USN), qui regroupe plusieurs partis d’opposition, a annoncé vendredi se mobiliser contre un cinquième mandat du président Ismaël Omar Guelleh.  La coalition appelle à des élections libres et a formulé toute une série d’exigences, à commencer par une refonte de la Commission électorale. Réponse ce matin sur RFI des autorités djiboutiennes : il n’est pas encore temps de parler de l'élection présidentielle. L'USN à laquelle vous faites allusion n’a aucune existence légale. Ce sont des clowns politiques. D’ailleurs, leurs réunions ont lieu dans des appartements privés, non au siège officiel de l’USN originelle, situé avenue Nacer à Djibouti ville.  Ismaël Omar Guelleh est plutôt concentré sur la mission que les Djiboutiens lui ont confiée et ne se déconcentrera pas par les manœuvres dilatoires conduites par des choix des informations politiques. Donc, le gouvernement est au travail, le chef de l’État é

Bénin: le départ du "Président" Patrice Talon dépend de Dieu, selon Edgard Guidibi

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  Le pasteur Edgard Guidibi, fondateur du Centre Jésus Pour Réussir s’est prononcé sur l’actualité sociopolitique. Reçu sur l’émission “Zapping” de Vital Panou, il a évoqué la seule condition pour le départ du Président Patrice Talon du pouvoir. Selon le pasteur, le départ de Patrice Talon du pouvoir ne dépend ni de l’opposition ni de la mouvance. Pour Edgard Guidibi, les actions de ces deux entités ne définiront pas l’issue de la présidentielle de 2021.  “Le Président Patrice Talon ne bougera pas avant que ce soit la fin de son mandat pour Dieu. Personne ne prendra sa place avant le moment que Dieu a prévu”, a-t-il affirmé. Pour pasteur Edgard Guidibi, le Président Patrice Talon quittera le pouvoir tôt ou tard; mais seulement quand Dieu l’aura voulu. En ce moment, le Chef de l’Etat lui-même ne pourra pas s’y opposer car “personne ne reste une seconde de plus”.

Au Mali, l’avenir incertain du président Ibrahim Boubacar Keïta

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POLITIQUE Au Mali, l’avenir incertain du président Ibrahim Boubacar Keïta Quatre chefs d’Etat africains sont attendus à Bamako, jeudi, pour tenter d’arracher un accord entre le pouvoir et les contestataires. Le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta (« IBK »), est aujourd’hui le capitaine d’un bateau ivre, menacé d’être emporté par une tempête qu’il a lui même générée. Depuis son accession à la tête de l’Etat en 2013 puis sa réélection en 2018, « IBK » a déjà subi des épisodes de contestation, suscités notamment par l’absence de progrès dans le conflit au nord du pays ou les tueries à répétition qui endeuillent le centre. Jamais, cependant, son pouvoir n’avait semblé aussi fragilisé. Jeudi 23 juillet, une nouvelle délégation de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), composée cette fois de quatre chefs d’Etat en exercice – Côte d’Ivoire, Ghana, Niger et Sénégal – devrait se rendre à Bamako pour tenter d’arracher une solution aux acteurs de la crise et sor