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Paris : Des Gilets jaunes s’introduisent à BFMTV, la chaîne condamne et va porter plainte

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  En marge des cortèges de manifestants ce samedi à Paris, une dizaine d’entre eux ont brièvement pénétré dans le bâtiment de la chaîne, aux cris de « collabos ! ». "À tous les Gilets jaunes dans le coin c'est à BFM que ça se passe"! D'ordinaire, ce sont plutôt les caméras de la chaîne d'information en continu qui suivent les Gilets jaunes. Au jeu du chat et de la souris dans Paris ce samedi, ce sont des manifestants qui ont surpris la chaîne d'informations. Une grosse dizaine d'entre eux ont en effet débarqué dans le hall d'accueil du média, après être entrés par le parking ce samedi. La scène a été filmée par un manifestant, on y voit les « GJ » qui tentent de pénétrer plus avant dans les locaux. Aux cris de « collabos ! », ils réussissent à déborder les personnels de sécurité. Les personnels de sécurité avertissent calmement les personnes de ne pas endommager le mobilier du hall d'accueil. Le vidéaste appelle alors à le rejoindre sur place et de

Emmanuel Macron : ironise sur "le Kamasutra de l'ensauvagement" de la presse

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 Emmanuel Macron : ironise sur "le Kamasutra de l'ensauvagement" de la presse Agacé par la polémique déclenchée fin juillet par Gérald Darmanin et qui ne cesse de revenir par à-coups, le chef de l'État a affirmé qu'il entendait "répondre à la réalité". Il entend couper court à la polémique. Ce mardi, Emmanuel Macron s'est de nouveau refusé à commenter l'emploi du mot "ensauvagement" pour qualifier l'insécurité, qui divise son camp, et critiqué la presse pour avoir "fait le Kamasutra de l'ensauvagement depuis 15 jours". "J'ai déjà répondu dix fois à ce truc-là. Ce qui m'importe ce sont les actes, pas les mots(...). Prévenir, arrêter, sanctionner, corriger et donc répondre à la réalité", a rétorqué le chef de l'Etat, interrogé par des journalistes sur le mot "ensauvagement", martelé par son ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin et critiqué par le Garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti.