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Le candidat démocrate a qualifié de "honte nationale", ce mercredi, le comportement de son adversaire lors du débat pour la présidentielle américaine. Le candidat démocrate à la Maison Blanche Joe Biden a affirmé ce mercredi que le comportement de Donald Trump lors du premier débat chaotique et abrasif pour la présidentielle américaine du 3 novembre était une "honte nationale". "Peut-être que je ne devrais pas dire cela mais la façon dont le président des Etats-Unis s'est conduit, je trouve que c'est une honte nationale", a déclaré l'ancien vice-président américain lors d'une étape de campagne à Alliance, dans l'Ohio. Interrogé sur le fait que le président des Etats-Unis avait à cette occasion encore une fois refusé de condamner les suprémacistes blancs, Joe Biden a ajouté: "Mon message aux Proud Boys et à tout autre groupe de suprémacistes blancs est 'arrêtez tout'. Cela ne nous ressemble pas. Cela ne nous représente pas,

  Un coup d’éclat à quelques heures du premier débat présidentiel. Joe Biden a rendu publiques ses feuilles d’impôts pour l’année 2019 mardi, à quelques heures du débat présidentiel contre Donald Trump, alors que ce dernier est visé par des révélations explosives de la presse sur sa situation fiscale. https://twitter.com/JoeBiden/status/1310998525321383944?s=20 Les documents, mis en ligne sur le site internet du candidat démocrate à la Maison Blanche, montrent que Joe Biden et sa femme ont payé 299 346 dollars d’impôts fédéraux l’année dernière. Dimanche, le « New York Times » avait révélé que Donald Trump, qui refuse de publier ses feuilles d’impôts depuis son élection, n’avait payé que 750 dollars d’impôts à l’Etat fédéral en 2016.

  Donald Trump réclame, sur son compte Twitter, un test antidopage pour Joe Biden avant ou après leur débat télévisé de mardi. "Ses performances lors des débats ont été inégales comme jamais [...] Les médicaments ont-ils pu provoquer ces écarts ?" a-t-il avancé, précisant qu'il se soumettrait lui-même à un tel test.  Le mardi 3 novembre, les Américains éliront leur prochain président après une campagne totalement inédite à cause de la crise sanitaire. Ils auront le choix de réélire Donald Trump pour quatre ans supplémentaires ou d'élire l'ancien vice-président Joe Biden. 

  Lors d'une allocution depuis la Maison Blanche, le président américain a présenté la juge qui remplacera Ruth Bader Ginsburg, décédée le 19 septembre. Les médias américains l'avaient annoncé. Donald Trump a confirmé ce samedi la nomination de la juge conservatrice Amy Coney Barrett à la Cour Suprême. Lors d'une allocution dans les jardins de la Maison Blanche, le président américain a présenté la magistrate qui succèdera à Ruth Bader Ginsburg, décédée la semaine dernière des suites d'un cancer. "C'est ma troisième nomination (pour la Cour suprême) et c'est un grand moment", a déclaré Donald Trump. "Ce soir, j'ai l'honneur de nommer l'une des juristes les plus brillantes et les plus douées du pays à la Cour suprême", a-t-il lancé, soulignant sa "fidélité sans faille" à la Constitution. "Vous allez être fantastique", a-t-il lancé en s'adressant à la juge, debout à ses côtés.  Connue pour ses convictions rel

  Le président américain Donald Trump s'est recueilli jeudi devant le cercueil de la juge progressiste de la Cour suprême Ruth Bader Ginsburg, provoquant des huées et quelques cris de protestation. Portant un masque noir, accompagné de sa femme Melania, le locataire de la Maison Blanche a marqué un moment de silence face à dépouille de l'icône féministe décédée vendredi à l'âge de 87 ans. La démarche est d'autant plus singulière que le milliardaire républicain, qui n'a jamais endossé les habits de rassembleur depuis son arrivée à la Maison Blanche, est peu coutumier des hommages aux personnalités n'étant pas de son bord politique. Après quelques secondes de silence, des personnes présentes sur place ont manifesté leur colère, appelant à se mobiliser pour que l'ancien homme d'affaires de New York n'obtienne pas un second mandat.

  Un policier blanc a été inculpé pour mise en danger de la vie d'autrui, mercredi à Louisville, dans le Kentucky, après la mort de l'Afro-Américaine Breonna Taylor, tuée chez elle en mars lors d'une perquisition controversée. Cette décision est critiquée par sa famille et les manifestants contre les violences policières, qui voient là "un déni de justice". Brett Hankison, l'un des trois agents mis en cause dans l'affaire qui a coûté la vie à Breonna Taylor, a été inculpé mercredi 23 septembre. Il est poursuivi pour mise en danger de la vie d'autrui, une charge criminelle en deçà de celle d'homicide. Il avait déjà été licencié de la police en juin. L'homme devait être placé en détention et sa caution a été fixée à 15 000 dollars. Breonna Taylor, une infirmière de 26 ans, avait été tuée en pleine nuit à son domicile le 13 mars quand les trois policiers s'y étaient présentés munis d'un mandat d'arrêt dit "no knock", qui leur

  Loukachenko affirme avoir été élu président de la Biélorussie pour un sixième mandat, une réélection jugée frauduleuse, et a prêté serment en catimini mercredi. L’Union européenne a annoncé qu’elle ne le reconnaissait pas et ne lui accordait « aucune légitimité démocratique ». "L’élection du 9 août n’était ni libre ni équitable. L’Union européenne ne reconnaît pas les résultats falsifiés. En conséquence, la soi-disant prestation de serment du 23 septembre et le nouveau mandat dont se réclame Alexandre Loukachenko n’ont aucune légitimité démocratique et contredisent directement la volonté de larges pans de la population bélarusse", a affirmé Josep Borrell dans un communiqué. Des États européens avaient déjà dénoncé mercredi l’obstination d’Alexandre Loukachenko, Berlin déclarant "ne pas le reconnaître", faute de "légitimité démocratique". Les USA ne le reconnaissent pas non plus Le Département d’État américain a déclaré que les États-Unis ne peuvent pas c

  L'ancien président Barack Obama a publié sur Twitter un numéro de téléphone. Il a invité les Américains à lui envoyer des SMS pour lui raconter comment "ils comptaient voter cette année". "Ok, essayons quelque chose de nouveau. Si vous êtes aux Etats-Unis, envoyez-moi un texto au 773-365-9687. Je veux savoir ce que vous faites, ce que vous avez en tête, et comment vous comptez voter cette année", a écrit Barack Obama mercredi sur Twitter. L'ancien président des Etats-Unis, suivi par plus de 122,8 millions de personnes sur Twitter, a apporté son soutien au démocrate Joe Biden, opposé à Donald Trump dans l'élection américaine qui aura lieu le mardi 3 novembre. Nous serons en contact de temps en temps pour que je partage également ce que j'ai en tête", a ajouté Barack Obama dans son message. Inutile d'essayer d'appeler le numéro, un message vocal de l'ancien président vous invitera seulement à envoyer un SMS. Barack Obama et sa femme,

PEOPLE ROBERT DE NIRO, MORGAN FREEMAN ET D'AUTRES CÉLÉBRITÉS PARTICIPENT À UNE CAMPAGNE POUR LE PORT DU MASQUE Pour lutter contre la pandémie de coronavirus, le gouverneur de l'État de New York lance une campagne de prévention dans laquelle interviennent de nombreuses célébrités. Face à la réticence d'une partie de l'Amérique à porter des masques, les États-Unis appellent Hollywood à la rescousse. Le gouverneur de l'État de New York Andrew Cuomo lance une campagne de prévention intitulée "Mask Up, America" ("Mets ton masque, l'Amérique") constituée de plusieurs vidéos auxquelles participent des célébrités. Deux vidéos sur huit ont pour l'instant été dévoilées; l'une narrée par Morgan Freeman, l'autre par l'acteur Jeffrey Wright. "Je ne vous ai peut-être jamais rencontrés. On ne se connaît pas depuis longtemps. Peut-être que nous ne serions pas amis si c'était le cas. Mais quand vous portez un masque, vous gagnez mon r