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Affichage des articles associés au libellé Présidentielle 2020

Côte d'Ivoire: les citoyens s'organisent par crainte de violences

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  A l’approche de l’élection présidentielle du 31 octobre, les craintes et les peurs des habitants de Côte d’Ivoire se réveillent.  Si certains se disent confiants et assurent que le pays ne revivra pas les épisodes de violences des années passées, l’élection reste cependant une source d’angoisses et de questionnements.  En raison des tensions politiques, il flotte à Abidjan une atmosphère particulière, chacun se demandant à quoi s'attendre, et poussant certains habitants à s’organiser en prévisions de possibles troubles.

USA: Donald Trump refuse de dire s’il cédera pacifiquement le pouvoir en cas de défaite

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Trump, qui met régulièrement en doute la légitimité de l’élection présidentielle américaine prévue le 3 novembre, a refusé de dire s’il quitterait pacifiquement le pouvoir en cas de défaite face à Joe Biden. Le président américain Donald Trump a refusé mercredi de s’engager à une passation pacifique du pouvoir s’il venait à s’incliner face à son rival démocrate Joe Biden lors de l’élection présidentielle du 3 novembre, et il a dit s’attendre à ce que la Cour suprême décide de l’issue du scrutin. L’Amérique s’attend en tout cas à une nuit électorale chaotique. À la question de savoir s’il s’engageait à une passation pacifique du pouvoir en cas de défaite, l’actuel locataire républicain de la Maison blanche a répondu aux journalistes : Nous allons devoir voir ce qu’il va se passer. Donald Trump, devancé par Joe Biden dans les sondages nationaux, a régulièrement mis en doute la légitimité de l’élection du 3 novembre, affirmant sans preuve que le vote par voie postale allait donner lieu à

Présidentielle 2020 : En Côte d’Ivoire, le président Ouattara seul face à l’histoire

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  À moins d’un mois et demi de la présidentielle, l’opposition ivoirienne appelle à la désobéissance civile face à la candidature d’Alassane Ouattara, qui brigue un troisième mandat. Un passage en force qui mène le pays vers “le précipice”, estime ce média burkinabé, qui appelle le président à agir avec responsabilité. Plus qu’à une simple fièvre préélectorale qui monte, à une quarantaine de jours de l’élection présidentielle, c’est à une ébullition inquiétante que la Côte d’Ivoire s’attend. Un tison supplémentaire, au bout rougeoyant de feu, vient d’être ajouté sous la marmite, par des plateformes de l’opposition qui ne demandent, ni plus, ni moins, que la désobéissance civile contre ce qu’elles qualifient, comme d’autres partis politiques et mouvements de la société civile, de “forfaiture” d’Alassane Dramane Ouattara (ADO), qui, envers et contre tous, court vers un troisième mandat. Le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara ; la dissolution du Conseil constitutionnel ; l’audit

Présidentielle Usa : Facebook se prépare à faire face à des "circonstances chaotiques"

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  Après les polémiques autour de Facebook et de l'élection présidentielle des Etats-Unis en 2016, le réseau social annonce avoir plusieurs plans pour gérer les flux d’informations et contenir leur circulation en cas de tensions sociales ou de contestation politique pendant la présidentielle américaine. Etre exemplaire, cette fois. Après l'élection présidentielle américaines de 2016, Facebook ne veut pas faire les mêmes erreurs. Alors pour ce scrutin entre Donald Trump et Joe Biden qui s’annonce plus que tendu, le groupe se dit prêt à prendre des mesures exceptionnelles.  "Contenir la circulation" de certaines informations sur ses réseaux sociaux, c’est l'ambition du groupe de Mark Zuckerberg. Si jamais l’élection présidentielle américaine entraîne des tensions sociales ou des contestations politiques, plusieurs plans seront mis en place pour gérer la circulation des informations, affirme le vice-président de Facebook chargé des affaires internationales, Nick Clegg

USA: Donald Trump prévient les Américains qu'il «ne leur parlera plus jamais» en cas de victoire de Joe Biden

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  Lors d'un déplacement à Fayetteville, en Caroline du Nord, où il venait prononcer un discours dans le cadre de la campagne présidentielle américaine, Donald Trump a prévenu ses supporters des conséquences d'une victoire de son adversaire Joe Biden. «Si je perds face à lui, je ne sais pas ce que je ferai. Je ne vous parlerai plus jamais. Vous ne me verrez plus jamais», a prévenu le président américain face à une audience qui portait des masques «MAGA», «Make America Great Again», son slogan de campagne. Quelques heures plus tard, Joe Biden a reposté ce segment du discours de Donald Trump, en écrivant, non sans ironie : «Je suis Joe Biden et j'approuve ce message».  Toujours tranchant, jamais dans la demi-mesure, Donald Trump a également qualifié son adversaire de «pire candidat de l'histoire de la politique présidentielle».  Ce n'est pas la première fois que Donald Trump menace ses électeurs de disparaître en cas de défaite. Lors de sa première campagne présidentie

Présidentielle: Côte d'Ivoire, Henri Konan Bédié appelle à la "désobéissance civile"

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« Face à la forfaiture, un seul mot d'ordre : la désobéissance civile », a déclaré, sous un tonnerre d'applaudissements, Henri Konan Bédié lors d'une grand-messe qui a réuni les principaux partis de l'opposition au siège du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI).  L'ex-chef d'État (1993-1999), qui s'est érigé en chef de l'opposition depuis qu'il a rompu il y a deux ans avec Alassane Ouattara, n'a pas précisé de modalité d'action pour cette « désobéissance civile », une formule qui a été préférée à un boycott de la présidentielle, une hypothèse qui avait été évoquée. Chassé du pouvoir par un coup d'État militaire en 1999, Henri Konan Bédié espère toujours y revenir : à 86 ans, le chef du PDCI est l'un des quatre candidats retenus pour la présidentielle par le Conseil constitutionnel. À ses côtés, dimanche, étaient présents Assoa Adou, le secrétaire général du Front populaire ivoirien (FPI) de l'ex-président Laurent Gbagbo,

Côte d’Ivoire: l’opposition fait front commun contre la candidature du président Ouattara

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  En Côte d'Ivoire, les principales plateformes d'opposition étaient réunies ce 20 septembre dans l'après-midi autour d’Henri Konan Bédie à Abidjan pour appeler à faire barrage à la candidature du président sortant Alassane Ouattara. L’opposition pose des exigences et appelle à la mobilisation dans la rue. Henri Konan Bédié a eu ces mots très forts ce 20 septembre : « Face à la forfaiture, un seul mot d'ordre, irréversible : la désobéissance civile », a lancé le doyen de l'opposition. Concrètement, les partis, plateformes et organisations de la société civile, regroupés au sein de cette coalition de l'opposition, appellent à la mobilisation dans la rue contre un troisième mandat d'Alassane Ouattara et pour obtenir satisfaction sur une sériee d'exigences posées comme la dissolution du Conseil constitutionnel et de la Commission électorale, l'audit de la liste électorale, la libération des prisonniers politiques ou le retour des exilés. "La réform

Côte d'Ivoire présidentielle : Soro Guillaume appelle "l’opposition à s'unir"

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  L'ex-chef rebelle et ancien Premier ministre ivoirien Guillaume Soro a affirmé jeudi lors d'une conférence de presse à Paris que sa candidature à la présidentielle du 31 octobre était "irrévocable" et a appelé à une union de l’opposition pour obtenir des "élections libres et transparentes".  Sa candidature, ainsi que 39 autres, dont celle de l’ancien président Laurent Gbagbo, ont été rejetées par le Conseil constitutionnel. Guillaume Soro maintient sa candidature et appelle à l’union de l’opposition. L’ex-chef rebelle et ancien Premier ministre ivoirien a affirmé jeudi 17 septembre lors d’une conférence de presse à Paris que sa candidature à la présidentielle du 31 octobre était "irrévocable", bien qu'elle ait été rejetée lundi par le Conseil constitutionnel. La juridiction avait également invalidé 39 autres candidatures, dont celle de l’ancien président Laurent Gbagbo. Guillaume Soro a également appelé l’opposition à s’unir pour avoir des &q

Alerte Info: La "Cour africaine" demande le retour de Guillaume Soro dans la course à la présidentielle ivoirienne

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  La Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP), en désaccord avec le Conseil constitutionnel ivoirien, a demandé mardi la réhabilitation de la candidature de Guillaume Soro à l'élection présidentielle du 31 octobre prochain en Côte d'Ivoire.  Le sort de Guillaume Soro, candidat exclu de l'élection présidentielle par le Conseil constitutionnel ivoirien lundi, n'est pas scellé. La Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP), juridiction avec laquelle Abidjan a pris ses distances, a demandé mardi 15 septembre à la Côte d'Ivoire de permettre à l'ex-chef rebelle et ex-Premier ministre de se présenter à la présidentielle du 31 octobre. La CADHP "ordonne à l'État de prendre toutes les mesures nécessaires en vue de lever immédiatement tous les obstacles empêchant Guillaume Soro de jouir de ses droits d'être élu et d'être élu notamment lors de la présidentielle d'octobre 2020", selon le texte de l'or

Présidentielle en Côte d'Ivoire : l'opposition vent debout contre le Conseil constitutionnel

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  Au lendemain de l'invalidation de 40 candidatures sur 44 à l'élection présidentielle, dont celles de l'ancien chef d'État Laurent Gbagbo et de l'ex-chef rebelle et ancien Premier ministre Guillaume Soro, l'opposition a dénoncé, mardi, le "caractère tyrannique du régime". L'opposition ivoirienne n’a pas goûté la décision du Conseil constitutionnel. La veille, l’instance a validé la candidature controversée du président Alassane Ouattara à un troisième mandat et rejeté 40 des 44 candidatures déposées, dont celles de l'ancien chef d'État Laurent Gbagbo et de l'ex-chef rebelle et ancien Premier ministre Guillaume Soro. L'annonce de cette candidature avait provoqué des affrontements, notamment communautaires, qui avaient fait une quinzaine de morts en août. Un ancien Premier ministre de Laurent Gbagbo, Pascal Affi Nguessan, dont la candidature a été validée, a condamné, mardi 15 septembre, "la spirale de l'exclusion dans laque

Côte d'Ivoire: la candidature de Ouattara acceptée, celles de Soro et Gbagbo rejetées

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  Le Conseil Constitutionnel a validé seulement quatre des 44 candidatures déposées à la présidentielle. Celles de l'ancien président Henri Konan Bédié, de Pascal Affi Nguessan, ancien Premier ministre sous la présidence de Laurent Gbagbo et du député Kouadio Konan Bertin, dissident du parti de M. Bédié, ont également été validées. Nous serons à Abidjan dans ce journal. 

France : Présidentielle 2022, Jean-Luc Mélenchon évoque la fondation d'une "nouvelle force politique"

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 France : Présidentielle 2022, Jean-Luc Mélenchon évoque la fondation d'une "nouvelle force politique" Le chef de la France insoumise s'est exprimé dans une interview à L'Obs, publiée ce lundi, dans laquelle il évoque notamment une éventuelle candidature à la présidentielle de 2022. Le chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a évoqué la fondation d'une "nouvelle force politique" pour mener "avec ceux qui l'auront voulu" son éventuelle campagne pour la présidentielle de 2022, dans un entretien à L'Obs publié ce lundi. L'ancien candidat aux élections présidentielles de 2012 et 2017 doit décider et annoncer en octobre s'il se représente. "Si je suis candidat, j'arriverai fort de mon bilan électoral, de mon expertise, muni d'un programme ouvert, d'une brillante équipe soudée idéologiquement et décidé à fonder avec ceux qui l'auront voulu une nouvelle force politique", déclare Jean-Luc M